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#501 Le 10/08/2013, à 20:03

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

D'abord, il n'y a pas de mauvaises herbes, il n'y a que de mauvaises pratiques agricoles, c'est comme les insectes ravageurs, avant on savait comme éviter leur pullulation sans pesticides.
Et la recette est relativement simple, pas de mono culture, rotation des cultures sur plusieurs années, éviter de détruire les ennemis naturels de ces insectes.

Dernière modification par PPdM (Le 10/08/2013, à 21:14)


La critique est facile, mais l'art est difficile !
L'humanité étant ce qu'elle est, la liberté ne sera jamais un acquit, mais toujours un droit à défendre !
Pour résoudre un problème commence par poser les bonnes questions, la bonne solution en découlera

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#502 Le 10/08/2013, à 20:51

Ghost33

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Mornagest a écrit :

Sans blague, les mauvaises herbes sont résistantes aux herbicides... genre ça fait un siècle qu'on sait ça avec les antibiotiques et les bactéries...

Accessoirement, au niveau aquatique et unicellulaire, je bosse là-dessus (résistance aux pesticides, entre autres).  J'peux vous dire que l'état des cours d'eau en France a de quoi faire pleurer un saule.

93% des cours d'eau Français pollués...

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#503 Le 10/08/2013, à 21:18

Sopo les Râ

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

100% ! Le monoxyde de dihydrogène est une vraie calamité.


La sieste, c'est maintenant.
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#504 Le 10/08/2013, à 21:27

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Tu as raison, seul CH3-CH2-OH est acceptable !:P


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#505 Le 15/08/2013, à 05:31

Henry de Monfreid

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

PPdM a écrit :

Tu as raison, seul CH3-CH2-OH est acceptable !:P

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Car tu ne rêves que discordes, guerres et combats. »
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#506 Le 18/08/2013, à 18:54

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Source

Pour les musulmans

18 août 2013 |  Par Edwy Plenel

Au risque de ruiner l’espoir démocratique des révolutions arabes, le coup de force égyptien ravive l’alternative désastreuse entre dictature ou obscurantisme qui emprisonnait leurs peuples jusqu’en 2011. En écho, cette régression risque de nourrir les préjugés islamophobes qui érigent nos compatriotes d’origine, de culture ou de religion musulmanes en boucs émissaires de nos peurs de l’avenir. Parti pris en forme de mise en garde.

Dieu ou l’armée. L’étau dans lequel est pris le peuple égyptien, soudain renvoyé à l’affrontement entre pouvoir militaire et islamisme politique qui l’a si longtemps privé de sa liberté, menace aussi notre propre débat public.

Inaugurées en Tunisie, les révolutions arabes avaient ouvert l’espoir d’une nouvelle ère politique méditerranéenne qui, potentiellement, pouvait nous libérer, en France même, des passions négatives sur lesquelles la politique de la peur de l’après-11-Septembre fondait sa réussite, enrégimentant nos sociétés dans une guerre sans fin contre un terrorisme identifié à l’islam.

Depuis le tournant tunisien de décembre 2010-janvier 2011, onde de choc géopolitique sans frontières, la réalité du soulèvement démocratique des peuples avait ébranlé cette idéologie au nom de laquelle nos gouvernants (et même nos opinions) cautionnaient, voire soutenaient sans états d’âme, des pouvoirs dictatoriaux, liberticides et corrompus, au prétexte qu’ils faisaient barrage à l’islamisme.

La voici désormais ravivée, sur fond d’inculture, de méconnaissance et d’ignorance, par l’échec au pouvoir des formations issues de l’islam politique, alors qu’elles étaient sorties gagnantes des premières élections libres en Tunisie et en Égypte, échec résultant de leur incapacité à dialoguer avec leurs sociétés et à en accepter le pluralisme, sans compter leur impuissance et leur incompétence face aux urgences sociales qui les avaient légitimées.

Ce n’est en rien l’excuser que de rappeler que le coup de force sanglant des militaires égyptiens fut précédé du coup de force politique de Mohamed Morsi quand, en décembre 2012, le président issu des Frères musulmans a précipité l’avortement de la révolution en s’arrogeant les pleins pouvoirs. Il suffit d’ajouter la sanglante impasse syrienne, l’instabilité meurtrière irakienne, l’inquiétant désordre libyen et l’extension guerrière nord-malienne pour noircir encore plus le tableau où tente de se dessiner, dans une transition chaotique et douloureuse, à l’issue improbable et à la durée incertaine, l’invention par ces peuples d’un avenir dont ils seraient enfin les maîtres.

Les idéologues du choc des civilisations, qui essentialisent les identités, les cultures et les religions, n’ont que faire des incertitudes et des précautions d’une pensée complexe de cette crise multiforme, où il faudrait aussi tenir compte du sursaut démocratique turc lors des manifestations d’Istanbul, de la soudaine révolte marocaine contre le pouvoir royal, voire – au-delà du monde arabe et dans l’islam chiite – de la victoire d’un candidat modéré et pragmatique à l’élection présidentielle iranienne. Car toutes ces sociétés bougent en profondeur, convergeant bien plus qu’elles ne divergent des nôtres – démographiquement, familialement, culturellement – comme l’avaient fort bien démontré Emmanuel Todd et Youssef Courbage dans Le Rendez-Vous des civilisations.

En envisageant, après la répression sanglante de leurs manifestations, l’interdiction politique des Frères musulmans, décision qui criminaliserait leur mouvement et plongerait leurs militants dans la clandestinité, le pouvoir militaire égyptien assume le choix d’alimenter ces caricatures et simplismes. Cette fuite en avant contient le risque d’une répétition du dramatique scénario algérien où l’interruption en 1992 du processus électoral, suivie de l’interdiction du Front islamique du salut (FIS), ouvrit une décennie de guerre civile dont l’Algérie n’est toujours pas complètement remise. Un scénario dont on a pu constater, en France, combien l’impunité accordée à la répression militaire là-bas s’accompagnait ici d’une diabolisation croissante de l’islam.


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#507 Le 18/08/2013, à 18:56

GR 34

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Et, vraiment du nouveau aux pays d'allah ?


Karantez-vro...  Breizhad on ha lorc'h ennon !
«Les animaux sont mes amis. Et je ne mange pas mes amis.» George Bernard Shaw
https://www.l214.com/

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#508 Le 18/08/2013, à 18:57

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Tu m'étonnes

POLITIQUE - Certains de ses amis à l'UMP ont la mémoire courte, dit-elle...

Débat ou droit d’inventaire sur le bilan de Nicolas Sarkozy? L’initiative, lancée par Jean-François Copé plus d’un an après la défaire de l’ex-chef de l’Etat, ne fait pas l’unanimité. Nadine Morano, première des sarkozystes, s’est prononcée dimanche contre toute lecture critique du dernier quinquennat. Elle a regretté auprès du Parisien que «certains de (sa) famille politique aient la mémoire courte ou sélective».

«J'aurais aimé qu'ils mettent autant d'énergie à soutenir en son temps notre bilan qu'à réclamer aujourd'hui un inventaire», a-t-elle dit en soulignant qu'un «quinquennat passe vite pour la majorité comme pour l'opposition». Ancienne secrétaire d'Etat en charge de la Famille, puis ministre de l'Apprentissage et de la Formation professionnelle sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, Nadine Morano est trésorière de l'Association des amis de Nicolas Sarkozy.

Dernière modification par PPdM (Le 18/08/2013, à 18:59)


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#509 Le 18/08/2013, à 19:03

GR 34

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

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Karantez-vro...  Breizhad on ha lorc'h ennon !
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#510 Le 24/08/2013, à 22:19

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:


La critique est facile, mais l'art est difficile !
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Pour résoudre un problème commence par poser les bonnes questions, la bonne solution en découlera

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#511 Le 24/08/2013, à 22:46

Sopo les Râ

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Comment se débrouille le PC pour payer 1 000 000 € de charges par an (!!!) quand le PS ne paye que 60 000 € ?


La sieste, c'est maintenant.
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#512 Le 24/08/2013, à 22:59

david96

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

J'me suis posé la même question.

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#513 Le 24/08/2013, à 23:00

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Sopo les Râ a écrit :

Comment se débrouille le PC pour payer 1 000 000 € de charges par an (!!!) quand le PS ne paye que 60 000 € ?

Ils sont plus sales ? lol


La critique est facile, mais l'art est difficile !
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#514 Le 25/08/2013, à 14:21

Henry de Monfreid

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Sopo les Râ a écrit :

Comment se débrouille le PC pour payer 1 000 000 € de charges par an (!!!) quand le PS ne paye que 60 000 € ?

Emplois fictifs ?


« Je te hais plus qu'aucun des dieux qui vivent sur l'Olympe
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#515 Le 25/08/2013, à 14:23

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

S.O.D. a écrit :
Sopo les Râ a écrit :

Comment se débrouille le PC pour payer 1 000 000 € de charges par an (!!!) quand le PS ne paye que 60 000 € ?

Emplois fictifs ?

Nan,  parti fictif !!! lol


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#516 Le 25/08/2013, à 14:40

inkey

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Sopo les Râ a écrit :

Comment se débrouille le PC pour payer 1 000 000 € de charges par an (!!!) quand le PS ne paye que 60 000 € ?

Humm…  Peut être que justement c'est le PS qui est «peut dépensier»  plutôt que l'inverse.
Le PCF c'est quand même 138 000 adhérents (c'est beaucoup) , ils ont un nombre pas très important mais significatif d'élu (du coup subventions)
et puis :

Site du PCF a écrit :

Les élus communistes reversent à leur parti - c’est une originalité dans le monde politique français - les indemnités qu’ils reçoivent pour leur mandat d’élus. En retour, celui-ci leur donne des moyens pour leur activité.

Ça me paraît pas forcement délirant.

Dernière modification par inkey (Le 25/08/2013, à 14:41)

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#517 Le 25/08/2013, à 15:19

Sopo les Râ

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Non mais là on parle des charges d'entretien de leur siège.


La sieste, c'est maintenant.
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#518 Le 25/08/2013, à 15:28

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Edgard Morin a écrit :

« On vit dans des idées obsolètes et inadéquates »

Mais n’est-ce pas précisément le bilan de la première année de présidence Hollande ? Et l’organisation de ce séminaire gouvernemental sur la France de 2025 n’en était-il pas l’aveu ? Comme une façon de reconnaître qu’il manquait une vision ?

Voyons ce que va accoucher cette montagne… J’ajoute que ce gouvernement comporte des personnalités diverses, ce qui est un bien, mais avec des visées très différentes les unes des autres. Où la complémentarité n’arrive pas à relier les antagonismes dans une nouvelle vision. C’est un gouvernement composé par dosage de tendances alors qu’aujourd’hui, il faudrait une équipe qui ait, au moins, une passion commune, une vision et une visée communes.

Il y a, ici ou là, chez tel ou telle ministre, des fragments de la vision d’ensemble nécessaire. Mais ils ne sont pas reliés. De plus, séparément et globalement, les énormes pressions du monde financier, du monde technocratique ou du monde administratif finissent par inhiber les tendances réformatrices, et il manque cette volonté de les unifier pour les renforcer. On est dans une conjoncture qui nécessite une pensée que j’appelle complexe, le contraire précisément des simplifications que sont la rigueur ou la sotte alternative croissance/décroissance.

Quand on parle de croissance par exemple – laquelle est devenue un mythe contredit par la décroissance qui est un autre mythe –, le vrai problème, c’est de savoir ce qui doit croître et ce qui doit décroître. Faire croître une économie verte, renouveler toutes nos sources d’énergies qui deviendraient propres, faire décroître l’agriculture et l’élevage industrialisés, dépolluer et humaniser nos villes selon de nouveaux critères urbanistiques, etc. Bref il y aurait une grande politique économique à inventer qui correspondrait à ce que fut en son temps la relance du New Deal de Roosevelt. Ce qui signifie aussi que l’Etat doit restaurer un certain nombre de prérogatives qui sont les siennes et ne doit pas les abandonner au privé.

Je suis très frappé de l’expérience de l’Equateur où il y a eu la révolution citoyenne de Rafael Correa en 2007. Avant, pendant ce que Correa appelle la longue nuit du néolibéralisme, l’Etat avait abandonné le pétrole, privatisé toutes ses prérogatives. Il s’est trouvé en faillite, la monnaie s’est effondrée, le dollar l’a remplacé… Aujourd’hui, l’Etat reprend, par exemple, ce pétrole – 70% de ses revenus – avec une visée humaniste, la politique du buen vivir, une politique qui doit être centrée sur l’être humain et non pas sur l’économie. Et qui  a commencé à réduire les inégalités et le chômage. C’est certes un petit pays, un pays périphérique, mais souvent les nouveaux départs viennent de la périphérie.… En somme, on peut sortir de la fatalité des anciennes façons de penser et d’agir.

Hélas, la nouvelle politique que je crois réaliste – et que j’ai définie en détail en 2011 dans mon livre La voie, puis dans Le chemin de l’espérance avec Stéphane Hessel –, elle est vue comme utopiste par ceux qui se croient réalistes alors qu’ils sont emprisonnés dans l’utopie de la compétitivité et de la croissance.

On vit dans des idées obsolètes et inadéquates dont on attend néanmoins les recettes générales. La compétitivité, telle qu’elle est comprise, ça veut dire liquider du personnel, licencier, dégraisser, et pour ceux qui restent, des pressions organisationnelle telles qu’elles peuvent rendre les gens malades, suicidaires. Ce qu’on appelle la compétitivité est une réalité tragique. La vraie compétitivité d’entreprise consisterait à la réformer, à donner de l’autonomie à ceux qui travaillent, à faire des communautés de destin où chacun se sent à la fois solidaire et responsable. Là, nous aurions des entreprises compétitives. Quant au problème de la dette qu’on suspend au-dessus de nos têtes comme une épée de Damoclès, il faudrait le réexaminer. Je reprends l’exemple de l’Equateur qui avait une dette énorme : ils se sont demandés quelle était la dette justifiée et celle qui ne l’était pas. Et ils ont éliminé cette dernière.

C’est un chemin difficile, car les esprits ne savent ou ne cherchent à se reconvertir, difficile parce qu’il faut penser de façon complexe, par exemple à la fois croissance et décroissance, difficile parce qu’il n’offre pas de certitude. Mais nous sommes dans une telle époque d’hébétude, de résignation, de soumission qu’on ne conçoit pas le seul chemin réaliste. L’opinion est hébétée, privée d’avenir, angoissée du présent, et une partie va de plus en plus se réfugier dans ce qu’elle croit être le passé, c’est-à-dire les racines nationalistes, pseudo-raciales ou religieuses. Même les grandes affaires de corruption ne provoquent pratiquement pas de réaction dans l’opinion comme si c’était devenu normal que la politique soit corrompue.

Il y a une aggravation intérieure de la situation. Elle se manifeste par les progrès de ce qu’on appelle à tort les forces populistes, car le mot populisme est un très beau mot qui a été un étendard dans de nombreux pays d’Amérique latine contre les féodaux et contre les militaires. Laissons tomber les étiquettes; d’ailleurs il en faudrait de nouvelles – extrême droite, fascisme, etc., ça ne suffit pas. Disons qu’il y a eu historiquement deux France, la France républicaine, celle du peuple de gauche, et la France réactionnaire. Celle-ci a pris sa revanche sous Vichy, s’est décomposée à la Libération, mais c’est un vichysme sans occupation allemande qui progresse aujourd’hui. Et c’est le peuple de gauche qui dépérit.

http://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/240813/l-alarme-d-edgar-morin?page_article=2 a écrit :

source


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#519 Le 25/08/2013, à 17:14

inkey

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Sopo les Râ a écrit :

Non mais là on parle des charges d'entretien de leur siège.

Faut dire ça n'a pas l'air n'importe quoi leur siège, m'enfin.

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#520 Le 26/08/2013, à 04:15

david96

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Ha oui quand même ! lol

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#521 Le 26/08/2013, à 19:05

jlder

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Le premier ministre reçoit pendant deux jours les partenaires sociaux à Matignon pour leur présenter les contours du projet de loi. Son objectif ? Ne braquer personne pour ne pas alimenter la contestation populaire.

Rassurer des Français inquiets pour leur retraite: tel était l'objectif de l'intervention dimanche soir de Jean-Marc Ayrault au journal de France 2. Il est vrai que les chiffres donnent le tournis. L'exécutif doit trouver 20 milliards d'euros par an, à horizon 2020, pour sauver l'ensemble du système que la crise a mis au bord de la banqueroute malgré la réforme de 2010. En matière de prélèvement sur les ménages et les entreprises en 2014, «l'essentiel de l'effort sera consacré à financer la réforme des retraites», a précisé Jean-Marc Ayrault. Hausse de cotisations sociales ou relèvement de la CSG, telles sont les principales pistes. L'arme d'une hausse de la CSG a l'avantage d'être très efficace: un point de CSG rapporte 11 milliards d'euros. Voilà pourquoi l'exécutif est tenté de l'utiliser, même si rien n'est encore arbitré, comme l'a rappelé le premier ministre.

    «  C'est extraordinairement dangereux politiquement et socialement de donner priorité aux retraites par rapport à l'Assurance-maladie »
    Jean-Marie Le Guen, député PS de Paris

source,
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013 … la-csg.php


Asus R700VM-TY092V: Linux Mint 15 Mate  - Thinkpad T61: Aptosid Xfce (Debian Sid)

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#522 Le 26/08/2013, à 22:32

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Il a le droit de rêver dans sa tour d'ivoire!! roll


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#523 Le 27/08/2013, à 05:48

kastus

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

JF. Pilliard vice-pdt du Medef sur RMC  a écrit :

Si les cadres vivent plus longtemps que les ouvriers, c’est aussi à cause de leur hygiène de vie.


- Chérie, si on vivait avec moins de 800€ par mois pour avoir tous les avantages des pauvres ?
- Crétin !

(de Nawak Illustration)

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#524 Le 27/08/2013, à 06:02

Sopo les Râ

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

Il a un nom prédestiné, celui-là.


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#525 Le 27/08/2013, à 06:59

PPdM

Re : Politique en bordel et sans recul ! :lol:

kastus a écrit :
JF. Pilliard vice-pdt du Medef sur RMC  a écrit :

Si les cadres vivent plus longtemps que les ouvriers, c’est aussi à cause de leur hygiène de vie.

[troll]C'est pas faux, si tu considères que faire les 3x8 ou lever des parpaings a bout de bras toute la journée n'est pas excellent pour la santé[troll] lol


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