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#501 Le 17/10/2008, à 23:42

bastiat

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

iMan a écrit :

En plus d'une explosion constante des dépenses des États, ils empruntent aussi de plus en plus. Et après on vient vous parler de déréglementation et de retrait de l'État ...

Absolument. Ce a quoi on peut encore ajouter la furia règlementaire.

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#502 Le 18/10/2008, à 05:40

VieuxMachin

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

notre Monsieur n'a toujours pas explicite ce qu'il entendait par criminel de patrons.

Je parle de vol. Un individu qui perçoit un salaire sans commune mesure avec le commun des mortels est, par définition, un voleur. Aucun être humain ne mérite des millions par liasse de dix ou de cent, quoiqu'il fasse ou quoiqu'il soit.

Quant à vos digressions sur l'accroissement sans fin de l'état, ça n'a aucun rapport direct avec les problèmes causés par le capitalisme. La furia réglementaire a du bon: La quantité fait que plus personne ne connait la loi, mais de ce foisonnement légal ne restera que l'utile. les Etats nations sont déjà en train de disparaitre entre les régions auquels ils délèguent leurs prérogatives progressivement (par incapacité) et l'UE, à laquelle ils délèguent leurs gouvernances (par manque d'idéologie).

Le danger réel est l'absence de réaction des citoyens à la dissolution de l'épisode démocratique, par l'Union Européenne, qui gouverne sans et contre les peuples. ça aussi, ça aura nécessairement une fin.

La capitalisme muselé, on pourrait vivre avec. Le libéralisme (qu'il soit "néo" ou "post", comme le nazisme) non. L'être humain, dans la société, gardera toujours une part de dignité, et vous (trois) êtes sa négation.

Dernière modification par VieuxMachin (Le 18/10/2008, à 05:41)

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#503 Le 18/10/2008, à 06:26

Astrolivier

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

certains parlent de faits et de leçons du 20ème siècle, et bien voyons en quelques un

l'améŕique latine fut un laboratoire du libéralisme celon ceux ci, résultat, aujourd'hui le continent le plus à gauche du monde est l'amérique latine.

les anglais privatisent les chemins de fer, aujourd'hui ils les renationnalisent.

pour la distribution de l'eau vous m'avez cité un super lien où il est dit que les entreprises gère très bien et sont exemplaire par contrat, mouais, je vous propose ceci

http://www.monde-diplomatique.fr/2005/03/LAIME/11972

En fait, si ces groupes témoignent de capacités opérationnelles éprouvées, ils bénéficient de financements publics internationaux et pratiquent des tarifications pesant lourdement sur les populations, qui finissent par se révolter. Leur mode de gestion est en fait de plus en plus contesté (7). En février 2002, Vivendi doit se désengager précipitamment des Comores, dont elle avait pris en charge, en 1997, le réseau d’électricité. En dépit d’un apport de fonds initial de près de 80 millions de francs (un peu plus de 12 millions d’euros), offert par des institutions financières internationales, la qualité du service rendu aux usagers s’est très vite dégradée. Vivendi finit par claquer la porte.

Le 24 janvier 2003, la ville d’Atlanta (Etats-Unis) et United Water (Suez) annoncent la fin du contrat de concession signé entre la ville et le distributeur, en janvier 1999, pour une durée de vingt ans. A peine quinze jours plus tard, le 7 février 2003, Ondeo-Suez annonce son retrait de Manille, aux Philippines, « en raison du refus des autorités locales d’augmenter les tarifs ».

Avec 6 millions d’habitants concernés, ce contrat octroyé en 1997 pour vingt-cinq ans constituait la plus grande privatisation du monde. Il avait été salué comme le modèle des réformes à venir des services publics et le meilleur moyen d’étendre les services aux pauvres. Ce sont en fait la Banque mondiale et le Fonds monétaire international qui avaient exigé cette privatisation de l’eau, du fait de la difficulté de la régie publique à desservir ses habitants. Mais les résultats s’avèrent désastreux : le prix de l’eau a flambé de 500 % en cinq ans, et a représenté en 2003 10 % du revenu des ménages. La population raccordée au réseau n’a pas augmenté comme prévu. Plus grave encore, une épidémie de gastro-entérites et de choléra s’est déclarée en novembre 2003 dans le quartier de Tondo, géré par le consortium. Elle a fait 7 morts et 700 malades.

Le 18 février 2003, Vivendi environnement et ses partenaires locaux sont écartés de la gestion de l’assainissement des eaux par un décret du gouverneur de l’Etat brésilien du Parana. Le 24 juin suivant, Suez annonce l’abandon d’un important contrat de gestion des eaux usées à Halifax (Canada), d’un montant de 341 millions de dollars sur trente ans. Selon le groupe, « Suez arrivé à la conclusion qu’il ne pouvait pas respecter le cahier des charges sans un surcoût estimé à 20 millions de dollars ».

Depuis lors, les choses ne s’arrangent pas. Suez, avec sa filiale Aguas Argentinas, est toujours empêtrée dans la renégociation d’un colossal contrat à Buenos Aires, menacé d’être dénoncé par le président Nestor Kirchner depuis plusieurs années. Suez prétend augmenter les tarifs de ses prestations d’un montant inacceptable pour les autorités argentines. En janvier 2005, ces dernières ont infligé à la multinationale française et à EDF des amendes d’un montant de 2 millions de pesos (500 000 euros) pour non-respect de leurs obligations en matière d’investissements et de qualité du service. Alors ministre des affaires étrangères, M. Dominique de Villepin avait déjà dû intervenir, ès qualités, en mai 2004, pour rappeler à ses « amis argentins » tout « ce que les entreprises françaises ont payé pendant cette période difficile  (8)  ». Allusion à la révision, en mars 2004, d’un accord signé avec le Fonds monétaire international (FMI), et à l’appui qu’y avait apporté la France.

ou ceci : http://www.monde-diplomatique.fr/2005/03/COUPECHOUX/11984

M. Drapier commence alors à envisager le retour en régie publique. Mais la compagnie multiplie les pressions. « Lorsqu’ils sont venus pour me proposer de participer à un colloque à Madrid, avec une personne de mon choix, tous frais payés, je me suis senti outragé. » Après les élections municipales de 2001, le contrat est donc résilié et une nouvelle régie voit le jour... Ce changement n’a pas été trop difficile. La ville a trouvé les compétences nécessaires – le gros du personnel de la compagnie a accepté de rester dans la nouvelle régie. Cette dernière, autonome, gère son propre budget. M. Dominique Barret, adjoint au maire et président du conseil d’administration, fait un premier bilan : « Depuis 2001, la régie a engagé pour 1,5 million d’euros de travaux pris sur les bénéfices qu’elle a déjà réalisés, puisque ceux-ci retournent désormais à l’eau. Mieux : elle a engagé la construction d’une nouvelle station d’épuration pour la fin de 2005. » Et la consommation a baissé de 22 %, du fait de la réduction des fuites.

quand à margaret qui trouve que quelques points inacceptables pour les anglais, peut etre parlais elle de quelques exécutions sommaires, dont elle ne saurait être caution...
pour ma part, je reconnais dans les systèmes communistes, un remarquable succès social en réduisant substantiellement l'extension du secteur privé, et un exemple frappant de réformes sociales desquelles nous avons beaucoup à apprendre. bon alors certes, quelques points ne sont pas très acceptables, mais avec du temps et du courage nous y arriverons

c'est assez godwin ou je passe au nazisme ?


en conclusion, je vois que votre système n'est pas réalisable et qu'à chaque fois qu'on l'a essayé, il a fallut que l'état soit rappelé en catastrophe pour ne pas finir en catastrophe, et c'est pour cela que vous pouvez montrez ces chiffres de prévement sur le pib : il y a eu 29, et nous avons pu voir très concrètement les bienfaits et nécessités des assurances chômages, santé et retraites. et les tenant du libéralisme d'hier se retrouvent aujourd'hui à prôner la régulation de peur de se retrouver au bout du pic de vieux machin.


S'il faut absolument faire des sacrifices pour assurer le progrès de l'humanité, ne serait-il pas indispensable de s'en tenir au principe selon lequel c'est à ceux dont on exige le sacrifice que la décision doit revenir en dernier ressort ? (howard zinn)

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#504 Le 18/10/2008, à 06:37

Astrolivier

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

par la même je fais de suite mon autocritique :

ces exemples ne sont en rien libéraux, l'état étant trop important. ce qu'il faut est naturellement aller plus loin dans le libéralisme. souvenez vous de reagan : "le problème ne peut pas être résolut par le gouvernement, le problème est le gouvernement"

lol


S'il faut absolument faire des sacrifices pour assurer le progrès de l'humanité, ne serait-il pas indispensable de s'en tenir au principe selon lequel c'est à ceux dont on exige le sacrifice que la décision doit revenir en dernier ressort ? (howard zinn)

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#505 Le 18/10/2008, à 07:12

inconnu

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

Le néo-libéralisme n'est rien d'autre qu'une utopie idéologique qu'on cherche a tout prix a faire coller avec la réalité des faits, afin de justifier des pratiques de domination économique.
Et ça fait une dizaine d'années que ses laudateurs nous rabachent le meme discours sauf....en ce moment.
La crise financière est pour le moment très abstraite, pour la majorité des gens, ensuite viendra la crise économique et ensuite....
On parle beaucoup de la crise financiére de 1929, mais a celle ci a succédé une crise économique(et donc sociale) qui a permis l'accouchement du fascisme et du nazisme.

#506 Le 18/10/2008, à 07:13

Astrolivier

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

et j'oubliais, la question écologique comment vous faites ? c'est la main invisible qui va empêcher l'exploitation des sables bitumeux d'alabama ?


S'il faut absolument faire des sacrifices pour assurer le progrès de l'humanité, ne serait-il pas indispensable de s'en tenir au principe selon lequel c'est à ceux dont on exige le sacrifice que la décision doit revenir en dernier ressort ? (howard zinn)

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#507 Le 18/10/2008, à 07:19

Astrolivier

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

DerKraKen a écrit :

On parle beaucoup de la crise financiére de 1929, mais a celle ci a succédé une crise économique(et donc sociale) qui a permis l'accouchement du fascisme et du nazisme.

mais non, t'as rien compris !!! "Hitler comme Mussolini ont démarré leur carrière politique dans des partis marxistes.
Lorsqu'on étudie leurs idées et les thèses, on est parfois surpris de voir que leurs idéologies ne sont pas si éloignées de certains penseurs marxistes de l'époque.
D'ailleurs, le fascisme et le nazisme se rejoignent sur leur nature indiscutablement anti-libérale."

lol

Dernière modification par Astrolivier (Le 18/10/2008, à 07:21)


S'il faut absolument faire des sacrifices pour assurer le progrès de l'humanité, ne serait-il pas indispensable de s'en tenir au principe selon lequel c'est à ceux dont on exige le sacrifice que la décision doit revenir en dernier ressort ? (howard zinn)

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#508 Le 18/10/2008, à 07:20

inconnu

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

la question écologique comment vous faites ?

Ben, tu fais du tri sélectif des dechets, tu regardes des reportages sur la vie de gnous, tu te dis extremement concerné par le problème écologique, et voilà, ça suffit bien.
Si il fallait en plus mettre ses actes en adéquation avec son discours, on en sortirait plus.

#509 Le 18/10/2008, à 07:24

inconnu

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

Hitler comme Mussolini ont démarré leur carrière politique dans des partis marxistes.

Et alors? Sans les conséquences sociales de la crise de 29 leurs organisations n'auraient pas dépassé le stade de groupuscule, surtout en ce qui concerne le NSDAP.

#510 Le 18/10/2008, à 07:36

Astrolivier

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

DerKraKen a écrit :

Et alors?

et bien pour nos cher tenant du libéralisme il semblerait que ce ne soit en rien une cause d'un ultra-libéraliste, mais à des politiques collectivistes. la solution à la crise serait donc de privatiser tout ce qui reste afin de regarder tranquillement les reportages sur les gnous (que j'apprécie grandement au passage). et hop aucun risque de nazisme/fascisme


S'il faut absolument faire des sacrifices pour assurer le progrès de l'humanité, ne serait-il pas indispensable de s'en tenir au principe selon lequel c'est à ceux dont on exige le sacrifice que la décision doit revenir en dernier ressort ? (howard zinn)

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#511 Le 18/10/2008, à 07:50

ausecours

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

Murbard a écrit :
pankkake a écrit :

Il n'y a pas de retour à l'État, il est déjà là partout, et surtout, de plus en plus. Mais par contre les politiciens et leur complices braillent que c'est le contraire.
Preuve :
http://repository.headfucking.net/Image … ending.gif

Tout a fait. Le modele de l'état social-democratique toujours plus gros repose, comme les banques, sur la dette et la monnaie facile. Contrairement aux banques, les etats peuvent toujours payer leur dettes en volant leurs citoyens, ils ont donc plus de temps devant eux, cependant meme cette technique est limitee, et a terme c'est un krash similaire a celui du systeme bancaire qui attend ces Etats... avec quelques ordres de grandeur en plus.

Ben oui tu viens de décrire le crash à venir du capitalisme libéral: USA et GB.....:lol:
C'est pas Reagan et Thatcher qui étaient des grands adorateur de Bastiat?.....

Dernière modification par ausecours (Le 18/10/2008, à 08:09)


Linux mint.

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#512 Le 18/10/2008, à 07:56

ausecours

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

DerKraKen a écrit :

Le néo-libéralisme n'est rien d'autre qu'une utopie idéologique qu'on cherche a tout prix a faire coller avec la réalité des faits, afin de justifier des pratiques de domination économique.
Et ça fait une dizaine d'années que ses laudateurs nous rabachent le meme discours sauf....en ce moment.
La crise financière est pour le moment très abstraite, pour la majorité des gens, ensuite viendra la crise économique et ensuite....
On parle beaucoup de la crise financiére de 1929, mais a celle ci a succédé une crise économique(et donc sociale) qui a permis l'accouchement du fascisme et du nazisme.

La crise économique est déjà  la, et elle va entretenir la crise financière...Regarde l'immobilier et les ventes de voitures.....
Et j'ai bien peur que l'histoire se répéte....

De toutes façons, le capitalisme n'a su survivre à ses  crises que par des guerres.


Linux mint.

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#513 Le 18/10/2008, à 08:08

VieuxMachin

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

pour ma part, je reconnais dans les systèmes communistes, un remarquable succès social en réduisant substantiellement l'extension du secteur privé, et un exemple frappant de réformes sociales desquelles nous avons beaucoup à apprendre. bon alors certes, quelques points ne sont pas très acceptables, mais avec du temps et du courage nous y arriverons

Il n'y a jamais eu de société communiste en europe, vu que Lénine, a laminé les groupements ouvriers en 1917, et terminé l'écrasement de l'armée noire, en Ukraine, en 1921. On ne peut donc pas savoir ce qu'aurait pu donner le communisme, et encore moins l'anarchisme, broyé, autant par le fascisme de droite, que par le fascisme de "gauche".

Si tu fais allusion à l'URSS, le simple fait qu'un citoyen de l'époque, ayant ses volets à repeindre se posait la question "Mais qu'est-ce qu'ils font ?", suffit à démontrer que l'état était perçu (à juste titre), comme "autre", comme entité de la dominance sociale. On a vu ce que ça a donné, et je crois que c'est la première fois dans l'histoire, qu'une organisation sociale se saborde elle-même, sans violence ou presque, sur le simple constat des dominants sociaux eux-mêmes, que... "rien ne marche".

En un sens, la fin du soi-disant communisme n'est rien d'autre que l'annonciateur de la fin du capitalisme, puisque, à quelque détails insignifiants près ce sont les mêmes sociétés. Pourtant, on est encore loin de la fin du capitalisme, et, de toutes façons, le système social en lui-même n'est pas le centre du problème. L'humanité pourrait vivre avec n'importe quel système, à la seule condition de ne pas tolérer les dominants sociaux. La dominance, comme la violence, doit être limitée par l'état de droit. Sans quoi il n'y a pas d'humanisme possible.

En un sens, le nain qui pue a raison lorsqu'il dit, en mangeant son chapeau "ce n'est pas la fin du capitalisme". A première audition, ça fait hurler de rire, mais après réflexion, ... c'est sinistrement vrai.

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#514 Le 18/10/2008, à 08:11

ausecours

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

pankkake a écrit :

Il n'y a pas de retour à l'État, il est déjà là partout, et surtout, de plus en plus. Mais par contre les politiciens et leur complices braillent que c'est le contraire.
Preuve :
http://repository.headfucking.net/Image … ending.gif

Et alors? c'est pas parce que les dépenses augmentent que le pouvoir de l'Etat augmente....


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#515 Le 18/10/2008, à 09:00

Astrolivier

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

@VieuxMachin : c'était une boutade reprenant les mots de margaret, d'où l'histoire du point godwin. j'éspère que tu ne me soupçonnes pas de défendre ce genre de propos


S'il faut absolument faire des sacrifices pour assurer le progrès de l'humanité, ne serait-il pas indispensable de s'en tenir au principe selon lequel c'est à ceux dont on exige le sacrifice que la décision doit revenir en dernier ressort ? (howard zinn)

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#516 Le 18/10/2008, à 09:18

ausecours

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

VieuxMachin a écrit :

En un sens, la fin du soi-disant communisme n'est rien d'autre que l'annonciateur de la fin du capitalisme, puisque, à quelque détails insignifiants près ce sont les mêmes sociétés. Pourtant, on est encore loin de la fin du capitalisme, et, de toutes façons, le système social en lui-même n'est pas le centre du problème. L'humanité pourrait vivre avec n'importe quel système, à la seule condition de ne pas tolérer les dominants sociaux. La dominance, comme la violence, doit être limitée par l'état de droit. Sans quoi il n'y a pas d'humanisme possible.

En un sens, le nain qui pue a raison lorsqu'il dit, en mangeant son chapeau "ce n'est pas la fin du capitalisme". A première audition, ça fait hurler de rire, mais après réflexion, ... c'est sinistrement vrai.

Oui, c'est interessant ce que tu dis, mais est ce que la collectivisation des moyens de productions n'est pas une solution pour éviter la dominance soçiale?


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#517 Le 18/10/2008, à 10:12

kastus

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

Murbard a écrit :
VieuxMachin a écrit :

Non? C'est pourtant de là que vient ta vaseuse de bauf, au sujet du tatouage...

Hein ? Quel tatouage ?

VieuxMachin a écrit :

Mais alors, si tu ne connais rien à la bourse...

Il faut participer aux forum boursorama maintenant pour connaitre la bourse, la meilleure. De toute facon je perds, si j'y connais rien il faut que je me taise et si je connais bien ca fait de moi un salop de financier qui defend son interet de classe. Oh le piege gros comme une maison.

J'interviens pour dissiper ce petit malentendu. Si vous remontez le fil, la vanne à 10 balles sur le tatouage a été ajoutée par votre serviteur Mandarb et pas par le libéralo-liberticide Murbard.

Il est vrai qu'à 4 pages de post d'intervalle y'a de quoi s'égarer.

Cela dit, je ne l'ai pas pêchée sur le furum que tu mentionnes mais elle m'a été bel et bien été envoyée par email par mon beau-frère.

J'ai voulu jouer mon Denisot............désolé.

J'en profite pour souligner la paranoïa latente de Murbard qui a flairé un soit-disant piège gros comme une maison. Quelqu'un a déjà souligné auparavant la propension des libéralo-liberticides à se poser en victime comme n'importe quel adepte de secte qui se sent pris à contre-pied.

Comme je l'ai souligné plus-haut, je considère que ce genre d'individus ne mérite pas plus qu'un débat sur la forme.


- Chérie, si on vivait avec moins de 800€ par mois pour avoir tous les avantages des pauvres ?
- Crétin !

(de Nawak Illustration)

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#518 Le 18/10/2008, à 10:24

lukophron

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

est-ce que ton beauf est juif ?
;op


Le danger avec les glands est qu'ils prennent racines.
Corneille

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#519 Le 18/10/2008, à 10:24

lukophron

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

nan parce qu'entre les juifs qui envahissent la pologne et les communistes qui mangent les enfants des libéraux, moi j'ai très peur


Le danger avec les glands est qu'ils prennent racines.
Corneille

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#520 Le 18/10/2008, à 10:49

#hehedotcom\'isback

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

VieuxMachin risque de perdre son Livret A et son Codevi big_smile

La Caisse d’épargne a perdu 600 millions d’euros à cause des risques pris par trois de ses traders en plein krach boursier. Nicolas Sarkozy juge que « les responsables doivent en tirer les conséquences » et Christine Lagarde s’est déclarée « vraiment ...(surement très triste :rolleyes)


../

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#521 Le 18/10/2008, à 10:53

Astrolivier

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

j'ai lu le la longue tirade de The New Republic page 21. une longue liste de contre argument falacieux, que du vent, et faute d'arguments valables on commence par des attaques personelles très grave, figurez vous qu'elle avait un grand père syndicaliste !!! mais la lecture en fut relativement marrante, je ne connais pas spécialement naomi klein, je trouve finalement que plus on creuse plus c'est intéressant.

j'ai même pris la peine de regarder la page wikipédia du repreneur du journal, on peut y lire :

http://en.wikipedia.org/wiki/CanWest#Editorial_controversies

Since the 2000 acquisition of the major former Canadian newspaper holdings of Conrad Black's Hollinger International (now Sun-Times Media Group), including Canwest News Service, opposition has been expressed by some journalists, union spokespersons, politicians, and pundits about Canwest's enforcement of its corporate editorial positions. A 2001 decision to run regular uniform national editorials in all metropolitan dailies (except National Post), whereby local editorial boards could not take local positions on subjects of national editorials, ignited major national controversy and was subsequently withdrawn.

Conflict over Canwest editorial control and policy has focused in particular on three issues:

    * The Liberal Party of Canada. Since Israel Asper's leadership of the Manitoba Liberal Party, the Asper family has been identified with Liberal politics and politicians. In July 2001, Southam national affairs columnist Lawrence Martin, was fired after a column of his critical of Liberal Prime Minister Jean Chrétien was not published. Russell Mills, longtime publisher of The Ottawa Citizen, was fired in June 2002 after the newspaper called on Chrétien to resign. However, as of 2006, at least one Asper family member (David Asper) is now publicly supporting the Conservatives. [1]
    * The government of Israel and conflict in the Middle East. Veteran Montreal Gazette reporter Bill Marsden has said that the Aspers "do not want any criticism of Israel. We do not run in our newspaper op-ed pieces that express criticism of Israel and what it is doing." [2][broken citation] In 2004, the Reuters news agency protested after Canwest altered newswire stories about the Iraq war and the Israeli-Palestinian conflict, such that Reuters felt it had inserted Canwest's own bias under Reuters bylines. The changes were apparently made in accordance with a Canwest policy to label certain groups as terrorists. [3][broken citation]
    * Canwest editorial control and management itself. In December 2001, 77 staff at The Montreal Gazette signed a letter and launched a web page [4][broken citation] opposing the national editorial policy, and the reporters among them participated in a byline strike, refusing to sign their names to their stories in the newspaper in protest. Management responded with a gag order. The next year, several journalists left The Halifax Daily News over similar conflicts, and ten journalists at The Regina Leader-Post were reprimanded or suspended after a byline strike to protest censorship of coverage of a speech in Regina by Toronto Star columnist and Canwest critic Haroon Siddiqui.
    * Upon acquiring Southam's Newspapers from Hollinger International, Israel Asper continued Conrad Black's policy of 'blacklisting' influential Canadian world and military affairs journalist Gwynne Dyer's internationally published articles. This antipathy was prompted by Dyer's views on conflict in the Middle East and his opposition to neoconservatism, which run contrary to the ideological views of Asper and others on Canwest's board of directors then and today. Partially as a response to this, Dyer published a collection of his articles on the Middle East and related topics called "With Every Mistake" in 2005.

quand les neo-cons viennent au secours du libéralisme...


S'il faut absolument faire des sacrifices pour assurer le progrès de l'humanité, ne serait-il pas indispensable de s'en tenir au principe selon lequel c'est à ceux dont on exige le sacrifice que la décision doit revenir en dernier ressort ? (howard zinn)

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#522 Le 18/10/2008, à 11:32

xabilon

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

Re-salut

2ème avertissement : ce sujet pourrait être un vrai débat, mais il y a certains intervenants qui s'évertuent à le faire dévier vers des contrées beaucoup moins saines (VieuxMachin, entre autres)

Anti-sémitisme, dénigrement, diffamation, insultes, intolérance, attaques personnelles ....

Soit ça se calme, soit on ferme.

Ce serait vraiment dommage pour la plupart des participants, qui, eux, respectent les règles.

Dernière modification par xabilon (Le 18/10/2008, à 14:11)


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#523 Le 18/10/2008, à 11:38

lukophron

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

il faut mieux lire
et comprendre l'ironie

quand VieuxMachin et Murbard nous assommes avec leurs poncifs sur, au choix, les juifs ou les communistes, je préfère me foutre de leur gueule

ce qui ne m'empêche pas de débattre sur d'autres points avec eux

puisque je suis cité à comparaitre nominativement, je veux bien une citation exacte montrant que je ne respecte pas la charte du forum
et je me la fermerai là-dessus, d'accord mon humour est limite, les assertions de certains la dépasse pour moi.

Dernière modification par lukophron (Le 18/10/2008, à 11:39)


Le danger avec les glands est qu'ils prennent racines.
Corneille

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#524 Le 18/10/2008, à 11:39

tylhdar

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

Kanor a écrit :

Si vous voulez voir l'avis des libéraux sur la crise c'est par la
http://www.liberaux.org/index.php?act=id
C'est assez marrant

merci du lien, ça me conforte dans l'idée que les libéraux sont des malades.


un matériel non compatible linux est un matériel défectueux
ubuntu 10.4 sur pc1 ; debian squeeze sur pc2

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#525 Le 18/10/2008, à 11:52

xabilon

Re : Le néo-libéralisme, le marché et la réalité des faits......

Vu la tournure du sujet, la volonté manifestement négative de certains de se calmer (VieuxMachin on le connait par cœur ... à la prochaine t'es viré), les avertissements, les plaintes signalées à propos de ce fil qui s'accumulent ...

Sujet fermé

Dernière modification par xabilon (Le 18/10/2008, à 14:11)


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