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#1 Le 23/02/2006, à 01:03

geantick

de derriere les fagots vieux rtf:"les cles de la reussite de microsoft

salut

dans la serie des pavés dans les fenetres lol, je viens de retrouvé çà dans un vieux dossier oublierje ne me souvient plus si je l'a ireçu de quelqu'un ou si il vient du p2p. Donc je précise que je n'en suis pas l'auteur et que je n'ai pas vérfié la véracité des propos tenues dans ce texte. je vous le donne en pature juste pour vous en faire profiter. bonne lecture.



La Clé du succès de Microsoft :

D'énormes erreurs stratégiques de la concurrence
Mise-à-jour : 10/02/2001 (correction des fautes de frappe)
Vous vous demandez peut-être comment Microsoft imposa comme standards des produits aussi mal fichus que Word, Office, Access ou Windows, face à des produits aussi remarquables que ceux d'Apple, Claris, Novell ou Lotus par exemple.
En fait Microsoft bénéficia à chaque fois d'une chance énorme.
Tout commença en 1981, lorsqu'IBM confia à Microsoft la fourniture d'un système d'exploitation pour un nouvel ordinateur, le PC. Ce dernier ne valait pas grand chose comparé à un Apple II, alors leader et inititateur du marché de l'informatique personnelle, successeur de l'Apple I qui fut le premier micro-ordinateur à sortir d'un laboratoire pour s'adresser aux quidams. IBM, alias Big Blue, était tellement conscient des faiblesses de sa machine qu'il n'a même pris la peine de lui concevoir un OS ou un microprocesseur, comme pour ses autres machines (dont même les vis étaient conçues par Big Blue !). Le géant de l'informatique voulait seulement sortir rapidement et à peu de frais une machine quelconque pour clouer le bec aux jeunes chevelus anarchisants de chez Apple, qui osaient le défier avec de ridicules petits ordinateurs personnels et des discours subversifs. Pour cela, il suffisait de concevoir rapidement une machine, avec n'importe quels composants, pourvu qu'ils soient disponibles et bon marché (comme par ex. le vieux 8088 d'Intel, déjà dépassé à l'époque), puis d'autoriser n'importe qui à la fabriquer. Ce dernier point avait l'avantage d'externaliser le coût de l'offensive anti-Apple et permettait de ne pas risquer un nouveau procès pour abus de positon dominante. IBM pensait aussi que les piètres qualités du PC finiraient par faire revenir assez rapidement les clients vers les gros et moyens systèmes qui faisaient sa fortune (il n'était absolument pas question de faire durer un tel machin jusqu'à l'an 2000, ce qui explique un certain bogue) Et pour décrédibiliser tous les micro-ordinateurs, BigBlue alla jusqu'à donner à sa nouvelle machine un nom générique : PC, pour Personal Computer, en français Ordinateur Personnel. Ce qu'IBM ne savait pas, c'est d'une part que la micro-informatique était une bonne idée et, d'autre part, que les entreprises chargées de mener à sa place le combat contre Apple étaient dirigées par des génies du marketing. Et c'est ainsi que le ridicule logiciel appelé Quick Dirty OS (Système d'Exploitation (sic!) vite et salement fait, en français!), racheté par Microsoft pour une poignée de $ et renommé MS/DOS (on ne pouvait pas garder son vrai nom, trop explicite), fit de la firme de Bill Gates un géant du logiciel. (Quand à IBM, ils auraient mieux fait de concevoir et vendre eux-mêmes un ordinateur de qualité. Car au final, le succès du PC, s'il a bien affaibli Apple, eut aussi pour conséquence la formidable montée en puissance de Microsoft, Intel et Compaq au détiment d'IBM. Et lorsqu'on pense à la menace que représente aujourd'hui Microsoft pour la liberté du Monde, l'intérêt général y eût trouvé aussi son compte…).
Plus tard, lorsqu'Apple lança le Macintosh en 1984, Bill Gates fut enthousiasmé et fit aussitôt développer des produits par sa société pour la nouvelle plate-forme révolutionnaire. Curieusement, Gates fut le seul à croire en l'avenir du Macintosh. Ainsi, Word put facilement s'imposer, les grands éditeurs d'alors ayant superbement ignoré le Macintosh à ses débuts. Lorsque des produits concurrents, parfois très supérieurs à Word (tel le splendide MacWrite Pro ou NisusWriter ou WriteNow) sont arrivés, le produit de Microsoft s'était déjà imposé. Mieux (ou pire?), le succès de Word servit de tremplin à des programmes comme Office, Excel, PowerPoint.
Bill Gates fut tellement enthousiasmé par le Macintosh, qu'il décida de le copier honteusement (Ce qui lui valut quelques procès). Le premier essai était tellement mauvais qu'il fut un bide retentissant. Le second ne fit guère mieux. Mais la troisième tentative fut la bonne. Certes, Windows 3 ne valait vraiment pas grand-chose comparé à MacOS, mais les utilisateurs commençaient à se lasser de l'antique MS-DOS. Et comme Apple menait à cette époque une politique élitiste, refusant de s'attaquer au DOS et aux PC bon marché, délaissant les utilisateurs d'Apple II; comme en plus les responsables informatiques voyaient d'un très mauvais œil cet ordinateur Macintosh utilisable très simplement et que l'on pouvait mettre en réseau de façon quasi-instantannée (ce qui diminuait le pouvoir de ces technocrates), Windows 3 fut un grand succès. Lui au moins, suffisamment complexe, ne menaçait pas le pouvoir des responsables informatiques; et même si les PC qu'il équipait finissaient par coûter plus cher que des Macintosh, les entreprises l'adoptèrent en masse, ignorant les études comparant les coûts entre les plateformes informatiques et montrant que l'économie d'usage du Macintosh compensait très vite son prix d'achat supérieur. Bill Gates est vraiment un champion pour faire passer ses vessies pour des lanternes!
Seulement, comme Windows 1 et 2 avaient été des échecs commerciaux; les grands éditeurs d'alors ne crurent pas plus au succès de la troisième version de cette greffe du DOS, tablant sur un nouveau rejet. Ainsi, les seuls logiciels disponibles, aux débuts de Windows 3 furent ceux de Microsoft. Et quand la concurrence se décida à réagir, air connu, les programmes Microsoft étaient devenus des standards. Quand on n'a rien, on se contente de peu.
Apple se concentrant sur les professionnels de la chaîne graphique et les professions libérales, ainsi que, aux États-Unis, aux écoles et aux universités, la voie était libre pour que Microsoft vende des millions de copies de la paire DOS/Windows 3. Certes IBM commença alors — enfin! — à comprendre que les PC, malgré tous leurs défauts étaient des succès et que laisser Microsoft seul à fournir des OS pour cette plate-forme était une erreur. Aussi Big Blue décida de réagir et de sortir OS/2. Mais ce dernier, malgré ses qualités (32 bits et multitâche), arriva trop tard, air connu. Et il n'avait pas, loin de là, l'incontestable facilité d'utilisation de MacOS. En outre, Microsoft, au cours de toutes ces années sans concurrence, avait largement eu le temps de s'allier avec de très nombreux fabricants de PC, devenus en réalité ses vassaux. Ainsi, OS/2 ne fut guère proposé que par IBM, qui ne fit d'ailleurs pas beaucoup d'efforts marketing en sa faveur.
En fait, seul Apple, l'inventeur de la micro-informatique et du génial Macintosh, eût peut-être pu troubler l'hégémonie de Microsoft sur le marché des systèmes d'exploitation (et même dans la bureautique avec sa filiale Claris). En effet, Windows 3 était vraiment limité et des utilisateurs commençaient à s'en plaindre. Ils n'étaient pas les seuls. Des fabricants de PC, et non des moindres, commençèrent à réfléchir eux aussi à une alternative à la paire DOS/Windows. Ainsi, Compaq (qui lança les PC sur la voie du succès, grâce à un grand talent commercial) et Novell (leader des réseaux d'entreprises, avec son OS NetWare™) contactèrent Apple. Las, le premier se fit éconduire. Quand au second, il coopéra assez étroitement avec Apple sur un plan technique et MacOS fut adapté pour processeurs Intel. Las, cette version ne fut jamais commercialisée. En effet, parallèlement, Apple développait ses PowerMacintosh et finalement décida d'y consacrer ses efforts marketing, craignant que la sortie de MacOS pour Intel eusse gêné le lancement de ses ordinateurs de nouvelle génération. Apple n'ayant pas eu les moyens financiers pour lancer deux produits aussi importants et Novell n'ayant pas voulu participer à hauteur de ce que lui demandait son partenaire, Microsoft put continuer à régner en maître souvent tyrannique sur le marché des systèmes d'exploitation. Et pourtant, gageons que Windows 95 aurait certainement souffert du lancement un an auparavant de MacOS pour Intel, système 32 bits lui-aussi, mais autrement mieux conçu, bien plus facile d'utilisation, beaucoup plus fiable et, à juste-titre, fort réputé. (Une autre explication à la sortie avortée de MacOS pour Intel : Apple et Novell ont pu subir des pressions de Micro$oft. Le procès en cours pour abus de position dominante nous apprend que Micro$oft a souvent eu recours à toutes sortes de moyens pour intimider la concurrence, y compris Apple. On sait ainsi que de nombreux logiciels d'applications concurrents de ceux de Microsoft ont eu à subir le chantage « si un fabriquant de PC fournit trop de logiciels non Micro$oft, il perd sa licence pour l'OS Windows, donc meurt » ou ont souffert de dysfonctionnements provoqués par des morceaux de codes écrits à cette fin et ajoutés à Windows par la firme de Bill Gates. Cette dernière méhode fut aussi très utilisée pour réduire les parts de marché des processeurs AMD ou autres Cyrix, les concurrents d'Intel, le complice de Microsoft; c'est pourquoi l'on parle de la paire Wintel.).
Une fois Microsoft devenu le fournisseur exclusif des systèmes d'exploitation pour PC, les constructeurs de ces machines subissaient eux-aussi les pressions de la firme de Bill Gates, qui ne s'est alors plus gêné pour imposer aux fabricants de livrer leurs machines avec des logiciels Microsoft et pour leur interdire de fournir des produits de la concurrence. Profitant de sa puissance et de sa position dominante sur le marché bureautique, menaçant de tuer QuickTime pour PC, Microsoft a même réussi à évincer Netscape sur Macintosh, en obligeant Apple à fournir Internet Explorer en standard. (Apple livre quand même Communicator, mais il faut le chercher sur le disque dur et éliminer MS Explorer dans les préférences d'Internet, ce qui fait que la plupart des gens conserve le logiciel de Microsoft, malgré son instabilité — il peut provoquer de nombreux plantages — et tous ses défauts). Quand on connaît ces pratiques anticoncurrentielles, illégales et malhonnêtes, on comprend encore mieux pourquoi les PC avec processeur Intel et logiciels Microsoft sont encore aujourd'hui si nombreux, malgré tous leurs défauts. La concurrence a payé très cher le fait de ne pas s'être opposée avec conviction à Microsoft, avant que la firme de Bill Gates fut devenue assez riche et forte pour abuser de sa puissance.

Conclusion : Microsoft prétend que ses produits sont des standards, car ils seraient les meilleurs. En fait, il n'en est rien. L'éditeur de Redmond a simplement toujours su se placer du bon côté au bon moment, en profitant des absences de la concurrence. Il est alors intéressant de noter que la firme de Bill Gates, après des années de "guerre", vient de se rapprocher d'Apple et développe à nouveau en priorité ses produits bureautiques pour MacOS. (cf Office 98). Le Macintosh est bien vivant, quoi qu'en disent certains (iMac, no1 des ventes de micro-ordinateurs aux États-Unis, fin 98!), et Bill Gates sait que les applications pour MacOS constituent toujours une bonne source de profit. En outre, à l'égard de la concurrence, Microsoft use de pratiques d'intimidation digne d'un parrain de la mafia, même à l'encontre des fabricants de PC, pourtant ses alliés. Ainsi, Netscape ou de toute autre entreprise qui menacerait la suprématie de ses produits en innovant, est victime des abus que Micro$oft tire d'une position dominante acquise surtout par la chance. De nombreuses petites sociétés sont aussi rachetées pour les empêcher de grandir. L'ogre de Redmond semble ne tolérer la concurrence qu'à 5% de parts de marché. Au delà, le procès en cours pour pratiques anticoncurrentielles et abus de position dominante, nous apprend chaque jour un peu plus que Bill Gates et ses sbires sont vraiment capables de tous les moyens pour étouffer la concurrence et l'empêcher d'innover.
En Bref, nous le voyons, la qualité des produits Microsoft n'a rien à voir avec leur succès. Si la firme de Bill Gates avait dû compter sur la seule qualité de ses produits, elle aurait probablement disparu depuis longtemps, éliminée par des logiciels concurrents bien meilleurs. Si la concurrence avait eut l'intelligence de ne pas laisser Microsoft devenir riche et puissant, la firme de Bill Gates n'aurait eu ni un tel succès ni la puissance nécessaire pour écraser ses concurrents, lorqu'ils ont tenté — trop tard — de réagir. Avoir de meilleurs produits que ceux de Micro$oft ne suffisait alors plus pour espérer reconquérir un marché complétement étranglé par la main de fer de Bill Gates et ses sbires. Tant que Microsoft ne sera pas totalement boycotté et/ou démantelé et sévérement condamné, cette situation, hélas, perdurera.


Mikiew 714.


soit A=B , si l'on ajoute A de chaque cotés => 2A=B+A , on soustrait 2B de chaque coté => 2A-2B=A-B  <=> 2(A-B)=1(A-B)
en simplifiant 2=1 ! et voilà. Mais 0/0 çà fait combien?

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#2 Le 23/02/2006, à 01:04

jpaul

Re : de derriere les fagots vieux rtf:"les cles de la reussite de microsoft

C'est la soirée? big_smile


<Mon avatar n'est pas une grenouille><Windows ça pue; Mac c'est trop cher; Linux c'est trop compliqué*, xBSD ça sert à rien><Les modos, on vous aime><Hébergement Web gratos et sympah ;)>
* Mais ça rend beau
[Membre du club des beaux Ubunteros]

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#3 Le 23/02/2006, à 01:06

geantick

Re : de derriere les fagots vieux rtf:"les cles de la reussite de microsoft

une petite tournée générale en passant lol

mais c'est vrai, je ne sais pas pourquoi mais depuis quelques jours je leurs en veux ^^
mais bravo à ceux qui aurons le courage d'aller au bout de ce texte smile


soit A=B , si l'on ajoute A de chaque cotés => 2A=B+A , on soustrait 2B de chaque coté => 2A-2B=A-B  <=> 2(A-B)=1(A-B)
en simplifiant 2=1 ! et voilà. Mais 0/0 çà fait combien?

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#4 Le 23/02/2006, à 01:31

Black_pignouf

Re : de derriere les fagots vieux rtf:"les cles de la reussite de microsoft

Mouais, mais qui nous dit que d'autres firmes auraient fait moins pire, aussi bien technologiquement que marketinguement? hmm
Merci pour l'éclairage historique, mais il me semble un peu trop orienté pour être pris tel quel...
Ca ne sert à rien de réécrire le passé! A nous d'orienter le futur avec notre distrib'! big_smile

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#5 Le 23/02/2006, à 01:44

Gou

Re : de derriere les fagots vieux rtf:"les cles de la reussite de microsoft

Black_pignouf a écrit :

Ca ne sert à rien de réécrire le passé! A nous d'orienter le futur avec notre distrib'! big_smile

+1
Allez, moi je retourne essayer d'écrire mon article sur le wiki wink

PS: il est long, mais je l'ai eu à l'usure tongue

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#6 Le 23/02/2006, à 01:49

geantick

Re : de derriere les fagots vieux rtf:"les cles de la reussite de microsoft

Ca ne sert à rien de réécrire le passé!

exact c'est pour cela qu'il ne faut pas l'ignorer smile

je te rejoint sur le coté parti pris de ce texte, j'attendais de voir un peu les reactions, mais pour moi il est à prendre avec prudence et dicernement.

et puis peut etre que si IBM avait fait un autre choix c'est sur eux que l'on taperrait actuellement c'est le buisness et la nature humaine...


soit A=B , si l'on ajoute A de chaque cotés => 2A=B+A , on soustrait 2B de chaque coté => 2A-2B=A-B  <=> 2(A-B)=1(A-B)
en simplifiant 2=1 ! et voilà. Mais 0/0 çà fait combien?

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#7 Le 23/02/2006, à 11:15

bergiautaf

Re : de derriere les fagots vieux rtf:"les cles de la reussite de microsoft

texte pas credible car trop affirmatif et a un parti prit evident ....

Le géant de l'informatique voulait seulement sortir rapidement et à peu de frais une machine quelconque pour clouer le bec aux jeunes chevelus anarchisants de chez Apple, qui osaient le défier avec de ridicules petits ordinateurs personnels et des discours subversifs

l'on pouvait mettre en réseau de façon quasi-instantannée (ce qui diminuait le pouvoir de ces technocrates)

il n'était absolument pas question de faire durer un tel machin jusqu'à l'an 2000, ce qui explique un certain bogue

Cette dernière méhode fut aussi très utilisée pour réduire les parts de marché des processeurs AMD ou autres Cyrix, les concurrents d'Intel, le complice de Microsoft; c'est pourquoi l'on parle de la paire Wintel.). "

Voila quelques phrase qui mon "choquer" soit parce qu'elle sont fausse ou on une vision trop reductrice.
Je vous conseile donc google pour reecrire vous même l'histroire de l'informatqiue !

#8 Le 23/02/2006, à 15:49

xylene

Re : de derriere les fagots vieux rtf:"les cles de la reussite de microsoft

Il y a un petit film sur le sujet "les pirates de la silicon valley" tout un programme ! Je l'ai trouvé excellent et probablement proche de la réalité.
Avec un steve job pas forcément plus sympathique que bilou d'ailleurs.

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