Ubuntu-fr

TeXMaker n'a strictement rien à voir avec ce problème. Il se contente d'envoyer une commande au compilateur LaTeX qui se charge de trouver les fichiers sty avec la collaboration de la bibliothèque kpathsea;
Voir

info kpathsea

pour plus de détails.
Voir aussi la documentation texlive-fr.pdf pour comprendre comment fonctionne texlive.
Il ne faut pas bricoler l'arborescence installée par les différents packages de texlive, sinon on risque de flanquer la zone lors des mises à jour futures.
Comme l'indique la documentation texlive-fr.pdf, les extensions faites par l'usager peuvent se trouver dans deux parties de l'arborescence prévues à cet effet :

• Soit l'arborescence dont la racine est donnée par la valeur de la variable TEXMFLOCAL pour les extensions accessibles à tous les usagers(s'il y en a plusieurs)

• Soit l'arborescence dont la racine est donnée par la valeur de la variable TEXMFHOME pour les extensions accessibles au seul propriétaire de cette arborescence

Pour connaître la valeur de chacune de ces variables, taper les commandes

kpaewhich -var-value=TEXMFLOCAL
kpsewhich -var-value=TEXMFHOME

Sauf exception, c'est le deuxième cas qui est à envisager.
Sauf bidouillage, la valeur de TEXMFHOME est /home/$USER/texmf
Ce répertoire n'est pas créé par défaut, il faut le créer manuellement. Les fichier de style pour latex doivent se trouver dans un répertoire sous ~/texmf/tex/latex. Il me paraît judicieux de créer un répertoire du nom de l'extension par exemple /home/debjjr/texmf/multind dans le cas qui t'intéresse. Ça peut se faire en une seule commande par

mkdir -p ~/texmf/tex/latex/multind

Ensuite on peut installer le fichier multind.sty dans ce répertoire.

Et avec un autre visualisateur que Evince ? Je crois que Kile en a un en interne comme TeXMaker qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau.
Pour avoir des réponses à ton problème, je posterais sur  tex.stackexchange.com mais c'est en anglais.

Suite à un changement de machine, j'ai eu de gros problèmes pour accéder à mon compte gmail imap avec gnus.
J'ai dû créer un mot de passe d'application. Sur le compte google, sous sécurité  choisir Validation en deux étapes  L'activer, se reconnecter, puis sous ce même menu Validation en deux étapes  sélectionner Mots de passe des applications  dans Sélectionner une application J'ai choisi Autres et nommé gnus sur Emacs puis le nom de l'appareil. J'ai copié le mot de passe tel qu'il est proposé (avec des espaces), puis j'ai lancé gnus configuré pour mon compte. Lorsqu'un mot de passe de connexion m'est demandé je n'ai eu qu'à coller le mot de passe copié. Il m'a été ensuite demandé si je voulais sauvegarder ces informations dans mon fichier .authinfo, ce que j'ai accepté. Depuis, tout roule...

Il est peut être utile quand on lance ce genre de commande de prendre quelques précautions. La suppression est définitive, et une erreur peut être catastrophique  Une erreur de frappe  par exemple tout le monde en commet un jour ou l'autre..
On peut, par exemple, déplacer les fichiers que l'on désire supprimer vers une corbeille, ou utiliser un gestionnaire de fichiers qui demande confirmation de la liste des fichiers qui seront supprimés..
Il y a un adage auquel je crois en administration d'ordinateur : « si une catastrophe peut arriver, alors elle arrivera »
Pour ma part j'utilise le mode dired d'Emacs, et il y a bien longtemps qu'une catastrophe due à la suppression de fichiers ne m'est arrivée. Par contre, en procédant sans précaution comme le suggère nany, j'ai eu parfois quelques démêles.
Lancer

emacs -nw -f dired

en mode texte, ou

emacs  -f dired

en mode graphique

C'est parfaitement normal, c'est l'indice que  /usr/local/texlive-current/bin/x86_64-linux/ n'est pas dans le PATH. Ta commande pour modifier le PATH n'est pas la  bonne.
Si tu tapes la commande

echo $PATH

tu dois pouvoir le vérifier.
N'étant pas un usager d'Ubuntu, je laisse à d'autres le soin de t'aider sur ce point.
Pour savoir si la commande tlmgr est reconnue, il suffit de taper

which tlmgr

si rien n'est renvoyé, c'est que la commande n'est pas active, il n'y a pas de tlmgr dans le PATH.
Une commande utile pour comprendre son installation (quand which tlmgr renvoie une URI) est :

ls -l tlmgr

.
ça permet de savoir ou est le véritable programme tlmgr. Par exemple chez moi

debjjr@charlotte:~$ which tlmgr
/usr/bin/tlmgr
debjjr@charlotte:~$ ls -l $(which tlmgr)
lrwxrwxrwx 1 root root 52 17 févr.  2021 /usr/bin/tlmgr -> ../share/texlive/texmf-dist/scripts/texlive/tlmgr.pl

on voit que tlmgr est un lien symbolique vers le script perl tlmgr.pl
Bien entendu tout ça vaut pour n'importe quelle autre commande que tlmgr.

Si ça ne marche pas, c'est que tu as fait une erreur. Comment pourrais-je la détecter alors que je n'ai pas la main sur ta machine ?
Je ne pouvais pas deviner que texlive-current était un lien symbolique (qui ne sert pas à grand chose, à moins que tu aie l'intention d'exécuter simultanément plusieurs versions de TeXLive !).

Tu ferais mieux de supprimer toutes tes manipulations de PATH que visiblement tu ne maîtrise pas, et lancer tlmgr (en superutilisateur) en donnant son chemin complet quelque chose comme

sudo /usr/local/texlive/2022/bin/x86_64-linux/tlmgr -gui

Ensuite dans le menu «Actions/Gérer les liens symboliques dans les répertoires système »
Cliquer sur le bouton « Mettre à jour les liens symboliques » pour accepter les répertoires proposés.
Il n'y a aucun inconvénient (ni avantage) à procéder ainsi si ce n'est que la manipulation est moins difficile à réaliser que la modification du PATH « à la main ».
Ensuite, tlmgr peut s'exécuter « normalement », sans préciser son chemin complet.
Si cette manipulation te déplaît, tu peux toujours la supprimer, dans le même menu, et reprendre ta modification du PATH, mais sans moi.

Pour ton information, ni TeXStudio, ni TeXWorks n'effectuent la moindre opération de compilation. Ce ne sont que de simples éditeurs avec la possibilité d'envoyer une requête de compilation à une distribution qui sur un système Linux est en général TeXLive.
C'est donc un problème avec TeXLive que tu as et avec lui seul.
Le compilateur qui exécute la compilation est celui qui reçoit la requête de l'éditeur. Cette requête est décrite dans les options de l'éditeur, sous TeXStudio, c'est dans le menu Options/Configurer TeXStudio/Compilation/
Le compilateur utilisé par défaut est pdflatex et la requête envoyée à pdflatex est

pdflatex -synctex=1 -interaction=nonstopmode %.tex

Le symbole "%" remplaçant le nom de ton fichier tex (sans son extention tex, bien entendu).
Tu peux adresser la requête directement dans un terminal pointant sur le répertoire contenant ton fichier LaTeX (supposons qu'il s'appelle toto.tex)

pdflatex -synctex=1 -interaction=nonstopmode toto.tex

.
Le compilateur renvoie alors un compte rendu pour expliquer ce qu'il a exécuté et les éventuelles difficultés qu'il a rencontré.
Il les regroupe dans un fichier appelé toto.log.
Ton fichier source est parfaitement correct et le résultat que tu observes est parfaitement anormal.
Il faut que tu lises le fichier de log, les erreurs doivent être signalées.
Chez moi, il se termine par

Output written on TeX-ecmeF5Z6H.pdf (1 page, 30991 bytes).
Transcript written on TeX-ecmeF5Z6H.log.

TeX Output finished at Wed Sep 14 22:33:08

Car je n'ai pas nommé le fichier toto mais  TeX-ecmeF5Z6H.

Il n'y a pas de nouvelle version avec Synaptics ? Ça serait plus simple à gérer. Peut-être faut-il mettre Ubuntu à jour au préalable. Si tu as besoin d'aide, tu peux en obtenir sur ce forum.

Pour la version que tu as projeté d'installer, il faut lire la documentation texlive qui fort heureusement existe en français.

Il existe des dizaines de façons de procéder en fonction de l'usage que l'on compte faire de l'installation. Le point délicat est de faire en sorte que les exécutables de TeXLive soient reconnus comme des commandes par ton système. Il faut configurer l'installateur de TeXLive pour ça. En aucun cas il n'est nécessaire de désinstaller l'installation de TeXLive des dépôts Ubuntu. Il n'est pas non plus indispensable de la conserver si on ne désire pas l'utiliser.

Avec Emacs, tu peux effectuer un remplacement avec des regexp, soit en mode interactif

C-M-% \(_face_[0-9]\{3\}[^{]*{[^}]*(\([^)]+\))\) RET \2\1

Soit en mode script (je te laisse le soin de l'écrire, c'est assez trivial, l'essentiel est dans la regexp que l'on peut construire en utilisant M-x re-builder). Dans ce cas la regexp est "\\(_face_[0-9]\\{3\\}[^{]*{[^}]*(\\([^)]+\\))\\)"
L'avantage des regexps de Emacs est qu'elles permettent d'inclure plusieurs lignes dans les captures.

J'exécuterais la commande

find /  -type f  -exec grep -iH "chaîne recherchée" \{\} \;  2>/dev/null

Pour une recherche dans toute l'arborescence.
Cela peut prendre « un certain temps », il peut être judicieux de limiter la recherche à une partie de l'arborescence ou d'interdire de parcourir certaines branches par un ou plusieurs -prune.
Voir

  info '(find)Finding Files'

find permet de raffiner le parcours de l'arborescence, par exemple avec -prune.
J'ai l'habitude de procéder ainsi, c'est un réflexe...

Pour te dépanner, tu peux établir une connexion avec un smartphone. Avec Android, il suffit de le relier par un cable USB, de le déclarer comme clé USB et sur le smartphone dans les paramètres "Connexion sans fil (sic)" choisir via USB. Ensuite il faut détecter l'identité de ton équipement réseau et éventuellement installer les logiciels complémentaires pour le faire reconnaître.

Comme je l'ai écrit dans ma réponse précédente (modifiée) la fonction CODE ne renvoie que le premier octet d'un caractère représenté par plusieurs octets comme "RIGHT SINGLE QUOTATION MARK" Il n'y a donc pas d'erreur de cette fonction, juste un RTFM qui t'avais échappé.