Contenu | Rechercher | Menus

Annonce

Si vous avez des soucis pour rester connecté, déconnectez-vous puis reconnectez-vous depuis ce lien en cochant la case
Me connecter automatiquement lors de mes prochaines visites.

À propos de l'équipe du forum.

#1 Le 10/12/2007, à 13:06

Fuli Culi

Raffraichissement d'Openoffice très lent

Bonjour à  tous,

Quand j'ouvre un classeur avec openoffice, le rafraichissement du menu et des données (moins de 100 lignes sur 7 colonnes) est très lent. Comme maintenant, quand je passe de firefox à  openoffice avec un ALT-TAB, openoffice se rafraichie et met environ 3 secondes pour tout retracer (menus, lignes, données, ...)

J'ai fait une recherche et ai essayé les manipulations suivantes :
- Activer l'affichage OpenGL,
- Augmenter la mémoire allouée.
Avec relancement d'openoffice après chaque manipulation. Aucun résultat.

Ma config :
- Ubuntu Feisty (Problème d'affichage général avec Gutsy chez moi)
- OpenOffice 2.2.0 (installé depuis Synaptic)
- Intel E4300
- ATI Radeon X1950GT
- 2Go de RAM

Avez vous une idée?


Lois de l'emmerdement maximum : "Tout corps plongé dans un flux d’em­mer­dements pivote sur lui-même de façon à offrir sa surface maximale."

Hors ligne

#2 Le 10/12/2007, à 14:38

brazzmonkey

Re : Raffraichissement d'Openoffice très lent

ça m'arrivait de temps en temps, après quelques heures de fonctionnement.
je ne crois pas avoir eu ce problème depuis que j'ai installé la version officielle.

Hors ligne

#3 Le 10/12/2007, à 19:42

Fuli Culi

Re : Raffraichissement d'Openoffice très lent

Pour ma part, ça le fait dès le lancement du PC.
J'aimerais autant pouvoir m'en sortir sans avoir à  me passer de synaptic...


Lois de l'emmerdement maximum : "Tout corps plongé dans un flux d’em­mer­dements pivote sur lui-même de façon à offrir sa surface maximale."

Hors ligne

#4 Le 07/06/2008, à 18:48

Fuli Culi

Re : Raffraichissement d'Openoffice très lent

Carte ATI remplacée par une NVIDIA, problème réglé.


Lois de l'emmerdement maximum : "Tout corps plongé dans un flux d’em­mer­dements pivote sur lui-même de façon à offrir sa surface maximale."

Hors ligne